Carré SOHO : Haut de gamme dans l’Est

19 févr. 2016 par Énergir dans Énergie
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Symbole du renouveau urbain de l’est de Montréal, le Carré SOHO vise à offrir le meilleur de trois mondes : un mode de vie haut de gamme, à proximité de tout, pour un coût abordable.

Que l’on ne s’y méprenne : le nom « SOHO » ne doit rien au quartier branché homonyme de New York. Résolument montréalais, il fait plutôt référence à la rue Hochelaga et à l’avenue Souligny, qui bordent le projet.

Quant au « carré », il vient de s’achever en 2015 avec la livraison de la phase 3, qui ceinture une grande cour paysagère de 20 000 pi². Soixante nouvelles unités s’ajoutent aux 70 livrées en 2012 et 2013, pour former un nouveau village urbain à l’est de l’autoroute 25.

Pour la dernière phase, rien n’a été laissé au hasard. Structure entièrement en béton d’une épaisseur de 9,5 pouces entre les étages, insonorisation et fenestration supérieures, comptoirs et céramiques haut de gamme : le Carré SOHO se veut synonyme de qualité, reflétant l’évolution sociodémographique du quartier.

« Notre plus gros défi était de convaincre les gens de venir nous voir, car beaucoup ne connaissaient pas ce coin de la ville, ou avaient des idées reçues. Mais tous ceux qui nous visitent constatent aussitôt que le quartier est en plein essor, en partie grâce à notre projet », explique Éric Cameron, directeur ventes et marketing du promoteur-constructeur.

Près de tout, sans les coûts

Par sa situation, le Carré SOHO offre deux arguments de poids. D’abord ses prix, très concurrentiels par rapport aux projets équivalents de l’autre côté de l’autoroute. Ensuite, sa rapidité d’accès aux points névralgiques du Grand Montréal.

« Nous visons une clientèle qui recherche à la fois les avantages de la ville et de la banlieue », dit Éric Cameron. De fait, les résidants ont accès à un éventail de commerces, de restaurants, d’écoles, de garderies et d’autres services (voir la carte détaillée offerte), tout en conservant une grande liberté de mouvement. Ils peuvent se rendre au centre-ville en 20 minutes par l’avenue Souligny, et rejoindre la rive sud ou nord en un clin d’œil par l’autoroute 25. En transport collectif, la combinaison autobus-métro les amène à la station Bonaventure en moins de 30 minutes.

« Nous ne sommes pas aussi près du centre que le Plateau, mais nous profitons des mêmes commodités pour des prix bien moins élevés », précise Éric Cameron. « Grâce aux économies ainsi réalisées, nous avons pu investir dans une construction et un design d’intérieur de haute qualité », résume M. Cameron.

Tout pour le confort

Pour compléter l’expérience haut de gamme des résidents, le promoteur-constructeur a misé sur le gaz naturel.

Les copropriétés de la phase 3, comportant de une à trois chambres, sont chauffées par rayonnement à partir de planchers alimentés par une chaudière à condensation. Nec plus ultra du confort, cette solution diffuse la chaleur plus uniformément, consomme moins d’énergie et prend moins d’espace au sol que des plinthes individuelles. Quant à l’eau chaude, elle provient d’un système centralisé au sous-sol, ce qui évite d’installer des chauffe-eau dans chaque unité – encore un gain d’espace.

Sur le toit du bâtiment, on trouve une génératrice au gaz naturel; celui-ci peut aussi alimenter des cuisinières ou des foyers dans les copropriétés-terrasses du sixième étage. Enfin, la descente de garage et la descente pour handicapés sont elles aussi chauffées au gaz naturel, pour faire fondre la neige ou la glace en hiver.

« Avec le gaz naturel, on n’a plus besoin d’installer des chaudières ou des réservoirs d’eau chaude dans chaque unité. Les copropriétaires n’ont plus à se soucier de leur remplacement et de leur entretien. Les risques de dégât d’eau sont grandement réduits, au grand plaisir des assureurs », se félicite Éric Cameron. « Au bout du compte, le gaz naturel n’offre que des avantages ! »

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